Formation initiale :
Les titulaires d’un bac pro occupent des postes de monteur ou d'agent de maintenance. À bac + 2, le BTS (brevet de technicien supérieur) systèmes électroniques et le DUT (diplôme universitaire de technologie) génie électrique et informatique industrielle répondent aux besoins des entreprises dans ce secteur. À bac + 3, plusieurs licences professionnelles offrent une spécialisation ou un complément de qualification technique très appréciés des professionnels.
Quelques options comme l’informatique embarquée ont le vent en poupe. Pour devenir ingénieur, le niveau bac + 5 est indispensable. Les écoles d'ingénieurs restent la voie classique, mais le métier est accessible aux diplômés de l'université, dans des disciplines fondamentales, telles que l'électricité, l'électrotechnique et l'électronique.
Formation continue :
Les CQPM peuvent être obtenus à l'issue d'un parcours de formation personnalisé ou par la validation des acquis de l'expérience. Diplômé ou non, à la recherche d'un emploi ou déjà en poste, les CQPM permettent d'accéder à différentes catégories d'emploi. Ils sont ouverts :
- aux jeunes et aux adultes en contrat de professionnalisation,
- aux salariés des entreprises de la branche métallurgie,
- aux intérimaires et aux demandeurs d'emploi sous certaines conditions.
Selon la situation, on peut y accéder dans le cadre :
• du contrat de professionnalisation, du plan de formation, d'une période de professionnalisation, du droit individuel à la formation,
• du congé individuel de formation.